lundi 16 août 2010

Don't speak.

Et quelques doutes refont surface et, tenaces, tiennent, tandis que le silence qui traîne, se fait écho à des questions vaines.
Comme une étreinte, ils tiennent mon esprit, mon corps, mon coeur ...
Tout ça t'appartient et tu n'en fais rien.
Absence, silence. Ce sont des constats sans aucun sens, car ce n'est qu'au passé que je pense ;  le début me manque et le présent me délaisse, quand au "futur",
Rien n'est moins sûr.
Je ne sais plus quoi faire, dire, ou penser alors je prends un bout de papier,
et j'écris pour que tu lises et que tu comprennes la seule chose que je souhaite.
Mais tu n'y prêtes aucune attention, espèce de salaud, pas plus qu'à la cendre de ta cigarette qui tombe dessus, comme c'est beau, comme tu t'en fous.
Mais tu ne comprends pas que ça ne m'atteint pas ? 
Moi je veux que toi,
Mais, tu continues de te foutre de ça.
Moi je ne veux que toi,
Quitte à t'en mordre les doigts...
Tu ne grattera plus ta guitare, et moi je ne pourrai plus chanter,
Et enfin ça reprendra, bien mieux ou bien pire que ça a commencé
Et moi je ne garderai de toi, que de vieilles cigarettes fanées
Je t'ouvrirai plus d'un endroit, pour ne pas te voir t'échapper
Et quand tout ça partira, comme ta cigarette fanée
Traînant la patte et ta vanité abîmée,
Quand tout ça reviendra, tu te couchera à mes pieds
Oui quand tout ça reviendra, on rira de ce bout de papier
Je rirai jaune, mais pas toi
Et la dernière cigarette sera écrasée.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

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