lundi 30 août 2010

Waiting in the sky.

I'm going far away
I decided today, to go far away,
Escaping for one day, with my hand in my pocket
That's all I need to go far away

Wait for me
I will come back soon
I promised you to come back and hold you in my arms
I will do
Let me see in your eyes
To build a castle in the sky
Just stay in the castle and look at the sky above you

I'm falling under a sea
To another sky, again
One sky for one destiny
Someone or something is calling me inside
And now that you know me well

Wait for me
I will come back soon
I promised you to come back and hold you in my arms
I will do
Let me see in your eyes
To build a castle in the sky
Just stay in the castle and look at the sky above you

Honey if you want, let me see
Don't close the window
If I can't touch you or talk with you
Remember that I always see you in my dreams.

Tous les textes sont sous droit d'auteur, sait-on jamais.

Listening "Beautiful Mess".

1 in the morning
When the world still in the dark
And when the whisper of the wind
Flows

This time is quiet good
Just hope that nothing moves
Because everyone should sometimes
Stop and take kind of this breath

Try to find anither dependence in the morning
In the new sunlight
I know, it's not really easy

And if I'm alone
No, and I don't care
No, I'm not
And if everything has to move
This is what I will do too

This time is quiet good
Just hope that nothing moves
Because everyone should sometimes
Stop and take kind of this breath

Tous les textes sont sous droit d'auteur, sait-on jamais.

mardi 24 août 2010

Listening "Starless Night".

Imaginez moi ce soir
Je suis assise près de ma fenêtre, là où j'ai l'habitude d'écrire
Et je ne trouve rien à dire
Je voudrai tant parler de toi
T'écrire un texte sans prétention
J'écoute ma musique, espérant trouver les mots
Et tu vois..

C'est en regardant les étoiles que
J'ai trouvé plus que des perles rares
Comme elle l'a dit
Comme elle l'a si bien dit
Vous savez aujourd'hui que
C'est de vous que je parle
Vous savez aujourd'hui que
Ces mots c'est à vous que je les dis

Elles restent dans le ciel comme vous restez à côté de moi
Elles brillent toujours, éclairant la nuit
Et veillant sur le reste du monde
Comme vous veillez sur moi
Sans elles la Lune doit se sentir bien seule
Comment dire, je suis prête à le jurer

C'est en regardant les étoiles que

J'ai trouvé plus que des perles rares
Comme elle l'a dit
Comme elle l'a si bien dit
Vous savez aujourd'hui que
C'est de vous que je parle
Vous savez aujourd'hui que
Ces mots c'est à vous que je les dis

Ah.... Elles sont là depuis la nuit des temps
Si il existe un Dieu et qu'il vous a placées à mes côtés
Pour une fois, il a bien fait les choses
Tellement bien

C'est en regardant les étoiles que
J'ai trouvé plus que des perles rares
Comme elle l'a dit
Comme elle l'a si bien dit
Vous savez aujourd'hui que
C'est de vous que je parle
Vous savez aujourd'hui que
Ces mots c'est à vous que je les dis


Restez encore un peu, restez
Ne vous sentez pas obligées
Continuez de briller pour que je puisse un jour
Vous ressembler
Je vous aime tellement
Tellement..
Vous m'apaisez tellement
Rire d'un rire si franc
Me prendre la main quand je suis sur le point de tomber...

L'amitié est un admirable acte de noblesse
Le plus franc des sentiments
Franc, franc, franc comme la lumière des étoiles.

Tous les textes sont sous droit d'auteur, sait-on jamais.

vendredi 20 août 2010

Tired of this.

I'd like to fall asleep under a big tree
Be free if they permit to me
And, yes they will
Under a big tree, I'd like to go away, let my soul, let my mind,
Go away
Let your presence leave with the wind, see the sun in the night
See the light under the dark
The wholes in my mind
Pass up your voice, your words, and the wholes in my mind,
I'd like to fall asleep under a big tree
Be carefull but friendly
When the rain is pouring down and people try to you down too
Take an umbrella and fly away
Because in your eyes, full of lies, promises, and all the things you like
Puzzles that lost a piece and your heart incomplete..
I'd like really to set my mind free and take time away
Lost myself in the branches above me
Lost my senses in the air around me
Be free
And fall asleep under a big tree


Tous les textes sont sous droit d'auteur, sait-on jamais.

Message on the pavement.

There's a message on the pavement, where I run just for you, to see what will happen,
I just run to you,
A message on the pavement, at the place where I fall for you
There's a message on the pavement, and it's just like you shout me to come
Did you see me at the corner ?
A place where we first met
Have you seen my message on the pavement ?
If you could return just one more time there....
I will be waiting at the corner.

And you don't even know my name, no you don't know
You don't know how many times I stayed there to see you
I will wait for you, if it's my last chance to see you, I will wait for you...
To see me at the corner
All day, all night, and more
All day, all night, and so much more
I will wait for you at the corner
Again and again, waiting to see you walking on the pavement
Til the sun goes down
See my message on the pavement
There's a message on the pavement
Come back on the pavement
Please, come back... Come back... Come back to me
Baby, come back..
Come back on the pavement

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Something Stupid.

This is like sunrise, when I look in your eyes, when I look at your smile

And oh, I swear, something stupid like I love you, something stupid like I need you.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Bouh.

C'est quelque chose qui est encore trop flou, trop vague et incertain, c'est ça. Je me dis alors qu'un blocage n'est pas un barrage, il contraint mais ne sépare de rien. Et toi ? Tu penses comme moi ? Dis moi aussi que ça ne mettra pas une limite, un frontière, une distance, un vide, un éloignement ... Pas de moi sans toi, ni toi sans moi, je t'en prie ... Je réalise que je me persuade qu'un sentiment n'a qu'une seule forme, la seule qui soit pure et donc réelle, sinon, ça n'est rien de plus. Et on me dit qu'aimer prend plusieurs formes ... Aidez moi à savoir lesquelles, parce que là je nage, non, franchement je ne vois pas. Ouh, c'est fou ce que mes hormones doivent me perturber ! Je rie de moi même pour ne pas en pleurer. En ce moment je n'arrive plus à faire semblant, je pense trop, tout le temps, ma tête devient un bourdonnement incessant, mes doutes de plus en plus puissants, pitié si vous pouvez m'aider, me rassurer, me protéger, m'enlacer ... Comment ne pas confondre amour et amitié ? Est ce que je me bloque, comment je peux faire pour m'épanouir et assumer le poids qui pèse sur mon coeur, trouble mes pensées, me fait sourire, m'attendrie mais me fais douter ? Des grands airs pour me faire remarquer. Une barrière qui privilégie la tête, et censure le verbe aimer, une idée que je n'en peux plus de rejetter. Une coquille dont j'essaye d'éclore, de me débattre, de me débarasser. J'ai peur qu'il y ai des choses qui n'arrive plus jamais. J'ai peur de passer à côté, de regretter. De me sentir à l'écart, d'être ignorée. Et alors, je n'arrive plus à me contrôler, j'ai plus conscience de ce que je fais, si ça sera bon ou mauvais, je ne vois plus rien de ce qui m'arrive, sans comprendre pourquoi, parce que j'ai tout simplement peur.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Selfish.

Quand elle lui parle ça m'écrase le coeur, ça me retourne le ventre

Quand je te vois sourire, je détourne la tête,
Je vais le plus loin possible,
Je ne supporte pas l'égoïsme


Je marche vers nulle part
Fuyant ton image, comme mon ombre ...

Et je fuis, car tu troubles tout.
Passé, présent, avenir, peur, impatience, colère et désir.


Dans ta douceur, je sens que je me noie, alors c'est d'accord ... Noies moi.

J'ai crié ton nom tellement de fois, je sais, tu sais, que je fûs la seule dont la voix porta aussi loin que ça,
elle, elle l'écorchera, le niera, ton nom elle le bousillera comme bon lui semblera .


Le ciel se couvre, et je n'arrive plus à penser.


Allongée sur mon lit, ton écho, ton égo résonne et ne me quitte jamais.
Je te vois dans mes rêves comme dans mes nuits noires,
Mon amour, est ce que tu sais combien j'ai besoin de toi ?
Et je te vois n'importe ou,
Aucun visage n'est aussi beau que le tien .

Le vent souffle et j'ai froid, sans tes bras autour de moi ...

C'est ton nom que je crie, mais tu ne l'entends pas, n'est ce pas.. Et j'aimerai que tu le vois avec moi.. qu'elle l'écorche, le nie, elle te bousille ... et si tu savais comme elle s'en fout . Combien de temps devras tu encore l'aimer ?


Elle te tue ...


Et moi, j'assiste, impuissante, tu l'admire à ta perte, son parfum est ton poison, elle est ton coeur qui pleure, ce sont des lignes que je ne peux changer.


Je continue, toujours ...


Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Il y a peut-être des choses dont je n'étais pas au courant, ou que j'ai ignoré de temps en temps ?

L'amour est un repaire , mais un repaire piégé

Celui des pickpocket du coeur, des cléptomanes des sentiments
La mécanique du coeur avec toi ne tourne pas comme une horloge,
Les heures sonnent, le temps fuit, et moi, j'ai choisi de fuir avec lui.


Et plus encore depuis qu'elle te tourne autour
Pas comme une simple amie
Et moi , maintenant,
Une seule envie me prend quand je vous vois
Et encore plus quand tu joues, tu l'enlaces, ou quand elle se couche carrément sur toi...


Chez moi, allongée dans mon lit,
La nuit, je crie
Tu m'écoeures
Et toi, désormais... Je te hais

Je n'ai rien d'autre à dire
Rien d'autre à rajouter
Pour te faire comprendre combien j'ai souffert


C'est toutes ces petites choses
Que vous croyiez sans incidences, qui m'ont blessée, je le dis dans tous les sens
Et ne me faites pas rire
En me disant que j'exagère, non,
Ne me faites pas rire
Pas avec ça

Chez moi, allongée dans mon lit,
La nuit, je crie
Tu m'écoeures...
Et toi désormais je te hais

Je ne suis pas hargneuse
Je ne suis pas en colère
Peut-être un petit peu ironique

Aujourd'hui, et même après
Je n'aurai pas d'animosité envers vous....
Ni de regrets...
Désormais... Vous m'indifférez....




P.S ... Je n'écris pas pour vous..... Ceci n'est pas fait pour vous faire passer un message dit "subliminal" .... J'écris pour m'apaiser, remettre de l'ordre dans mes idées. Comme je l'ai dis....... Tout au long du texte... En posant des mots sur ma peine, je m'en suis rendue compte... Néanmoins, ce texte... Je ne l'enlèverai pas. Pas tout de suite.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Listening "You talk" .

Moi je suis maladroite, des choses que j'ai fait avant toi, je ne sais pas comment te dire que je ne veux plus de toi, voudrais tu de quelqu'un d'autre que moi pour te serrer dans ses bras ? Si je te disais tout sur tout, continurai tu à attendre après moi ?


Non tu ne comprends pas , c'est triste mais c'est comme ça ... Non ils ne comprendront pas pourquoi je suis comme ça. Même si cette fois tu me fuis je ne te suivrais pas, à bas la fuite, à bas les excursions de toi et moi.


Faire sortir l'amour des sentiers battus ne m'excite plus, la folie ne m'attendrie plus, les rattrape moi si tu peux deviennent dangereux mais il n'y a que toi Seul, pour jouer encore à ce jeu.


Oui, ils parleront, ils ne savent faire que ça, parler sur toi et moi.


Parler surtout de toi, comment se fait-il ?


Blâmer, blâmez moi, je ne voulais pas t'abandonner mais je ne peux plus rester dans tes bras.


Et ça ils ne comprendront pas, ils parleront sur moi, sur toi et moi, mais personne ne sera surpris. Et puis ça ne fait plus rien puisqu'ils ne n'ont jamais été à nos places, puisqu'ils n'ont pas vécus la même chose que toi et moi .


C'est si ironique, enfin je me retrouve à ta place, non tu ne comprends pas , c'est triste mais c'est comme ça... Tu peux être dans tous tes états, ane changera pas, tu sais que je n'ai jamais joué de jeu avec toi, accepte donc que ça s'arrête là, il n'y rien d'autre à faire ... Je t'aime pour la dernière fois, et j'ai promis que je me déferai de toi, je vais arrêter tout ça.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Je ne suis pas scientifique, merde.

J'ai remballé ma science

Science, science, du poul, des battements du coeur, à deux cent à l'heure
Et encore, plus vite, plus fort
Je suis revenue à la même équation
Tu sais, celle pleine d'inconnues et où X et Y égale ton nom
Je ne toujours pas trouvé la solution qui permettrait de justifier ta disparition

Alors,
J'ai remballé ma science
Science, science, du poul, des battements du coeur, à deux cent à l'heure
La notion du temps, du t'en aller
Je sais

La vibration du son, dans mon ventre, ton nom
Contre moi, contre moi ça

J'ai remballé ma science
Science, science, du poul, des battements du coeur, à deux cent à l'heure
Propriétée du coeur, propriétée sur mon corps
Leçons à tirer, tirer sur la corde ou bien tirer un trait
Attrait pour tes traits, reconstruire, effacer, recommencer
Brouilloner sur du papier glacé des théorèmes insensés


J'ai remballé ma science
Science, science, du poul, des battements du coeur, à deux cent à l'heure

Sunday Morning.

Sous la lumière frêle et claire du matin, et sous les astres nocturnes qui peu à peu se rétractent car le soleil les presse, j'attends. J'attends le nouveau jour, j'attends le nouveau monde, j'attends. Sous le dernier voile nocturne qui peu à peu se lève, et en silence, j'attends. Les premiers bruits de la ville, et Paris qui jamais ne sommeille, la couleur des briques sous les premiers rayons, comme un feu, les dernières lueurs de la ville, comme c'est beau de se tenir droite et fière, et d'éprouver cette chose qui vous prend au tripes, comme si vous revoyez le ciel pour la première fois. Admirer le lever du monde après un ciel couvert d'étoiles, c'est le plus beau spectacle du monde, je vous souhaite de voir le même. Un mélange d'or, de pourpre, de marine et d'azur, comme une aquarelle qui brûle sur un papier éphémère ; qui n'est pas éternel doit avoir, au moins une fois vu, cette explosion dans le ciel.




Il n'a pas de plus beaux rêves que sont que l'on fait éveillés... Moi, pendant un court instant,
et pendant que le soleil se levait ; j'ai entendu mon coeur battre, puis soudainement s'arrêter.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

jeudi 19 août 2010

Find my way.

Shadows always walk next to me,
And I'd like to walk alone and free
In the light of my own way ...
I look around and see,
I wish the places where we went won't change any,
Because you will always miss me (but I don't want you to know it)
I want to break free,
And take time ...
Away

You're gone now... and I won't look for my mistakes

Neither refrain from looking at you,
My love, you loved me and I still loving you
I'd like to hate you and if you know
How many times I tried
But you know ...
Yes, you know ...
You know I still love you, so

Trought the rests of you , I'll find my way

Trought the past regrets, I'll find my way

Throught my memories , I'll find my way

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Don't worry, he's fine.

Comme il arrive aux plus forts d'être les moins confiants,On dit souvent qu'un sourire cache beaucoup plus qu'on ne le prétend.
Et on dit encore,
Qu'un calme apparant peut cacher la tempête, ou que les apparences sont plus trompeuses,
Plus trompeuses qu'on l'a cru, souvent.
On peut toujours écrire des poèmes et des métaphores, finalement qu'est ce que ça change ?
Et après ça tu vois,
Les paroles s'envolent et les écrits
Peuvent avoir complotés avec,
Mais peu importe ce qu'au fond de nous nous sommes, ce sont les actes qui jugent ce que nous sommes,
Un acte, deux actes, ton acte.
Mais peu importe ce qu'au fond de nous nous sommes,
Ce sont les actes sur lesquels on nous juge
En somme.
Peu importe ce qu'au fond de Nous nous sommes,
Peut m'importe qui tu es en somme
Maintenant tu sais,
Tu sais que ce sont les actes qui nous jugent entre Hommes,
Un acte, deux actes, trois actes,
Pourquoi?!
Ton acte fut jugé en douleur
Pauvre homme.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Society.

Aujourd'hui, tous mes troubles m'ont semblés si loin

Incroyable bouffée d'air, je souris, j'aime, je vis, enfin.
Je souhaite pouvoir garder ce qui me hante et ce qui me berce ici.
Oh, l'éclat de vos rires...
C'est dans ces bras que je soupire.


J'ai écris ce discours futile parce que j'aimerai vous dire
Oh combien c'est bien, quand ces instants se passent ici, se passent ainsi
Dans la chaleur et l'insoucience qui viennent de vous.
Oh combien c'est bon de vous avoir, si ce n'est un peu plus pour certains,
Pourvu que çà continue... encore longtemps comme çà.


Vient le retour de la candeur,
Même si le contexte n'est plus le même maintenant
Ce n'est pas parce que le temps s'effile qu'on accepte de grandir
Aussi facilement


Et si de tels moments se passaient encore ainsi, indéfiniment
Collée à vous dans un canapé devant un dessin animé
Être dans vos bras, ou tenir ... ,


Je veux
Garder ce qui me hante
Garder ce qui me berce
Et ce qui m'inspire


Quel discour futile pourrai vous dire
Oh combien c'est bien, quand ces instants peuvent se passer ici, se passer ainsi
La chaleur et l'insoucience, qui viennent de vous
Il me suffit de ça pour que je me rende compte,
Comme c'est bon de vous avoir si ce n'est un peu plus pour certains
Que de vous compter parmis les miens,
Pourvu que ça continue encore longtemps comme ça

Aujourd'hui, le reste m'a semblé si loin
Incroyable bouffée d'air, je souris, j'aime, je vis, enfin.
Je souhaite pouvoir garder ce qui me hante et ce qui me berce ici.
Et ce qui me hante encore :
C'est l'éclat de vos rires.
Et ce qui me berce toujours:
Ce sont vos bras dans lesquels je soupire.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

R'n'R

My heart beats. Guitar's sound, oh honey ?

Here are the rythm and the bass
Don't you hear?
It sounds like Rock'n'Roll here
It sounds like Rock'n'Roll honey

Bodies are moving,
Bodies are jumping,
Young people above the crowd sing
I love Rock'n'roll


Because it sounds like here,
Yeah it sounds like


Guitars...
Engender the myths of the Rock 'n' roll since it was born
They says we may be consumed in the customs of Rock'n'Roll
And guitars they still charming girls
You know it honey, isn't it


It sounds like Rock'n'Roll here
It sounds like Rock'n'Roll honey

Shouts in the party
I hear your voice singing
There's nothing else I need
Maybe your hand in my pocket
and catch your lips


Heart is beating, guitar's sound, oh honey...
Here are the rythm and the bass
Don't you hear?


It sounds like Rock'n'Roll here


It sounds like Rock'n'Roll honey

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

C'était avant.

Alors oui, je l'adore, peut-être même que je l'aime

Comme j'aime les autres
Vous savez, c'est vrai, on parle et on se ressemble beaucoup
On peut même passer des heures à parler tous les deux, de nos habitudes, d'aveux,
Parce que les aveux se font toujours à deux


Mais vous parlez seulement de ce que ce que vous imaginez.
Ca n'a aucun sens, aucun sens du tout. 
Nous on en rigole tous les deux parce qu'on est simplement tombés sur nous deux.


On peut être proches sans ça.


Oh oui, je l'adore, même je l'aime
Comme les autres


C'est vrai, oui, on parle de tout et on se ressemble beaucoup
On peut passer des heures à parler de nos habitudes, et de sortes d'aveux
Sans rire, on peut être proches, mais ce n'est pas plus que ça.

Quand tu écris ces mots, mon coeur se serre, il se pince comme le tien,
Tu saignes, je saigne aussi parce que j'ai déja connu ça

Et je ne te mens pas, je ne le ferai pas, même si je dois

Partout où je vais, il y a cette question, bonne ou mauvaise
Partout où je vais, j'hésite à les regarder en face


Je l'adore, je l'aime comme vous autres


Vous savez, c'est vrai, on parle de tout, on se ressemble beaucoup
Quelques confidences, des habitudes, des aveux,
Entre deux

Chacun de nous deux sait que nous sommes
Les mêmes reflets mais pas du même côté du mirroir


Amitié, amitié privilégiée
Réserve et complicité
Je m'en souviens, tout ce dont nous parlons, les rires, les réflexions, ça c'est une assencion
Et je la trouve gratifiante


Les mêmes reflets mais pas du même côté du mirroir
Les gens qui envient, continuent d'aimer avec jalousie


Oui, je l'aime
Comme je vous aime vous
On parle et on se ressemble beaucoup
L'heure passe à parler de nous deux, de nos habitudes, sortes d'aveux,


Parce que les aveux se font toujours à deux
Tous les deux.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

mercredi 18 août 2010

Nothing New.

Once more, heart is laying on the floor

I stayed there because of "He loves you"
Nothing new


And the time has come to take the right way up


And all is not lost, let it down


If I take it maybe it will beats forever more



I want to stay every day, every night
What else can I say

No, nothing else to say
This silence is already saying it to you


Please, please, don't speak, don't break it


And the time has come, to take your right way up
And I want you, yes I want you

Once more, time stopped in your eyes

 
I see the right way up when I'm with you

The sun rising

You're all I need in a world where there's nothing new

Your smile rising

I couldn't imagine what will I be without you

Keep me hoping

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

And I love Her..

Et je me suis dit que, si on arrêtait de se plaindre et qu'on arrêtait de s'enfoncer, si on se prenait plus en main, on avait pas besoin de tout ça.



Tu m'as Moi.


Et je t'ais, Toi.


Et, on va grandir et avoir Notre Histoire...


Plus celle qu'on se coltine.


Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

mardi 17 août 2010

Just a Gigolo.

"Amour, Toujours" , très peu pour toi et moi, nous c'est plutôt : "Je t'aime, Moi non plus" .




Tant mieux, on l'aura voulu .
C'est se déchirer pour mieux s'enlacer.
Plus jouer, se chercher, que s'engager.
Être complices pour plus se rapprocher.
S'observer à la dérobée mais continuer à s'ignorer.
Se blesser pour encore et encore s'aimer .
Se mordre et après, s'embrasser .
Se brûler pour mieux s'apaiser.
Se détruire ... Pour brièvement reprendre, comme si de rien n'était ...


Ce qui nous lie est toujours présent, mais trop éphémère et evanescent pour s'incrire dans le temps.


"Je ne peux pas te donner ce que tu attends ."


Face à face à s'observer, à s'apprendre, à se maîtriser, à s'apprivoiser ... à distance, chacun de notre côté.
Jusqu'à s'en lasser, on sait que le jeu va bientôt s'arrêter , "tu m'épuises, je te hais" ...


Mais ce que l'on avouera jamais ...
C'est qu'on s'en satisfait .

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

No one.

Peut-être que tu me manques.



Pour tout dire, je ne sais pas.


J'aimerai te parler, faire de toi un de mes amis, mais j'ignore pourquoi, je n'y arrive pas .


Il y a comme un petit malaise du côté de l'expression, ma voix, mon corps, cette enveloppe, m'embarrassent et les mots, tous ces dialogues imaginaires, arrivés dans ma bouche, je ne les retrouves pas.


Comme disparus !


Mais pourquoi ? Je souhaiterai vraiment le savoir, je cherche, mais je ne trouve pas .


Je pense à toi, amicalement, je voudrai juste savoir comment tu vas .

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Des mots sur les maux.


                                                                      Songer.




Á cette image , cette pensée, ces mots dessinés
En avoir éprouver le besoin , la nécessité
De l'écrire, la partager, surtout ne rien garder.
Devant ma feuille, devant le clavier, chacun de ces mots envolés
De mon esprit, rêveur intimidé, ce sont échappés ....
Une brume a leur place s'est installée
Nouvelle anti-chambre de furtives pensées, de mes émotions tiraillées,
Confondant fantasmes et réalités, il est temps que ma bulle se créée ...
Mes mots se pressent, viennent à se bousculer, à se battre, à se chercher 
Des images se commencent à se profiler,
Mes yeux et mon coeur à mon imaginaire vont s'abandonner,
Mes désirs vont s'embraser, fusionner, s'assembler
Avant de retomber, de se séparer, revenir à la réalité .
Afin de revivre ces instants, j'aimerais les écrire, rien quand regardant ce bout de papier
Prendre mon coeur et le déposer, laisser son encre comme un flot s'écouler
Mais à peine y ais-je pensé
Voilà mon jardin secret refermé, sans que je puisse en retrouver la clé ...


Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Hey you

Des instants comme ça j'en veux plus souvent, pour oublier que ma tête est encore plus sombre que la nuit à présent, entre les orages, les tempêtes et les ouragans de sentiments et une folie furieuse m'accaparant, un vide que je n'ai plus l'envie de remplir maintenant, des souvenirs, une envie de se retourner vers eux violemment ...



Si je pouvais être libre, si je pouvais choisir de flinguer le quotidien,
Je disparaîtrai, oui, je partirai au loin et je pourrai enfin observer un horizon plus éclairé .

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Cause they don't care about the young folks...

J'ai découvert ce que je ne voulais pas, et ce que je ne voulais pas savoir.

Tu me l'as volé trop tôt, tout s'est fait trop vite.
Si vite … 

Je le sais, je le savais.
Mais je me suis tue, je n'avais pas peur,
Je profitais du bonheur.
Comme à chaque fois, je souhaiterai revenir sur mes pas,
Revenir sur mes souvenirs,
Pour tout reprendre, te regarder,
Et tout refaire,
Comme avant, comme hier.



Amoureux, continuez la route sur laquelle vous êtes, sans vous prendre la tête, qu'importe ce qu'ils disent ;
Amoureux, continuez la route sur laquelle vous êtes, sans vous prendre la tête, qu'importe le reste.



Quand on essaye de faire au mieux mais qu'on ne réussi pas.

Quand on essaye d'avoir ce que l'on veux mais pas ce dont on a besoin.
Comme les larmes coulent, lorsque que l'on aime quelqu'un mais qu'il s'en va..


C'est comme ça .

Il n'y a pas à chercher l'erreur 
Je vais toujours trop vite.

Et le problème, c'est que je suis assez lente à le comprendre.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

Les titres et les sentiments ça fait deux.

J'y pense encore.
Et encore, de temps en temps un peu plus fort,
Comme par delà des champs battus, des cendres du grand incendie... Vaincu.
Papillons dans le ventre et montée d'adrénaline.
Combien de temps je devrais encore attendre avant ?
Combien d'heures... De minutes, de secondes, combien de temps à perte de vue ?
Pour réssuciter ces palpitations vermeilles
Qui font mes joues rouges, et les vertiges irréels, de tes mains qui frôlaient mes reins.
Alors ça... je le ressens encore...
Au plus profond de ma chair...
Mais des souvenirs seulement...
J'ai le coeur qui ne bat plus pour personne... et c'est comme si ça n'allait plus se reproduire maintenant.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

lundi 16 août 2010

Don't speak.

Et quelques doutes refont surface et, tenaces, tiennent, tandis que le silence qui traîne, se fait écho à des questions vaines.
Comme une étreinte, ils tiennent mon esprit, mon corps, mon coeur ...
Tout ça t'appartient et tu n'en fais rien.
Absence, silence. Ce sont des constats sans aucun sens, car ce n'est qu'au passé que je pense ;  le début me manque et le présent me délaisse, quand au "futur",
Rien n'est moins sûr.
Je ne sais plus quoi faire, dire, ou penser alors je prends un bout de papier,
et j'écris pour que tu lises et que tu comprennes la seule chose que je souhaite.
Mais tu n'y prêtes aucune attention, espèce de salaud, pas plus qu'à la cendre de ta cigarette qui tombe dessus, comme c'est beau, comme tu t'en fous.
Mais tu ne comprends pas que ça ne m'atteint pas ? 
Moi je veux que toi,
Mais, tu continues de te foutre de ça.
Moi je ne veux que toi,
Quitte à t'en mordre les doigts...
Tu ne grattera plus ta guitare, et moi je ne pourrai plus chanter,
Et enfin ça reprendra, bien mieux ou bien pire que ça a commencé
Et moi je ne garderai de toi, que de vieilles cigarettes fanées
Je t'ouvrirai plus d'un endroit, pour ne pas te voir t'échapper
Et quand tout ça partira, comme ta cigarette fanée
Traînant la patte et ta vanité abîmée,
Quand tout ça reviendra, tu te couchera à mes pieds
Oui quand tout ça reviendra, on rira de ce bout de papier
Je rirai jaune, mais pas toi
Et la dernière cigarette sera écrasée.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.

All good things (come to an end) .



Excellente journée ...


      Une nouvelle besace en cuir bien vieilli qui ne me quitte plus, un anniversaire qui approche et des projets de cadeaux ( comme un nouvel appareil photo Bridge ... ) qui semblent bien partis, une rencontre fortuite, un film dément ... Une soirée tranquille, calme, paisible ... Retour à la maison à pied, bien que le soir tombe .
      L'air, léger et frais, soulève, fait virvolter quelques mèches de cheveux, relève ma tête vers un ciel devenu un peu plus sombre ... Pas un pékin dans le coin. Seul un lointain bruit, celui de la ville, m'empêche de me croire totalement seule ici .
       Dans l'ascenceur, une glace me renvoie mon reflet : voilà donc mon image, c'est comme cela que je suis, du moins dans un premier sens, apparent, celui-ci ...
      Traverse la coursive, au loin le Panorama, dernières lueurs derrière. Cliquetis de la serrure, sur moi la porte se referme, dans l'entrée je laisse choire sac, blouson, chaussures et le reste ... Il est 21h passée.
      Peu après, la terrasse, glace Ben&Jerry's, Schwepps/Ananas, les conversations des voisins pour bruit de fond, les lumières des différentes habitations et la cathédrale illuminée à l'horizon ... La quiétude de l'instant est simple et pourtant remarquable ... Comme la fraîcheur de la nuit qui cette fois ci au lieu d'être agréable, commence à me faire éternuer et me donne des frissons à 22h47, si j'en crois l'horloge numérique sur mon portable.
      Obligée de rentrer ... 
      Je m'installe devant l'ordinateur, mets un commentaire sur son blog, hésite à rédiger cet article, retourne en hâte sur la terrasse pour illustrer cette soirée avec mon appareil photo, tape les premiers mots qui décriront cette journée jusqu'a 00h27 puis les relis.

      Récit d'une journée, finallement assez banale et qui pourtant a eu ce petit quelque chose qui l'a embellie sans qu'elle soit si différente des autres.

Tous les textes sont sous droits d'auteur, sait-on jamais.